mardi 9 octobre 2018

Informations aux copropriétaires du NBBC du 8 octobre 2018
Point sur l’avancée du chantier de réhabilitation du NBBC


Point sur l’avancée du chantier de réhabilitation du NBBC
Toits
L’entreprise travaille toujours à l’anse 4 sur trois blocs. A la mi-octobre elle doit revenir à l’anse 2 pour terminer l’ensemble des toitures. A fin octobre, dix (voire onze) blocs auront été faits dans les anses 1, 2 et 4 sur les trente-six à réaliser dans la résidence. Un retard correspondant à la couverture d’un bloc sera observé.
Pour les appartements où il est nécessaire de reposer le T 1-11, un isolant sera remis au ni- veau des chambres mais pas au niveau de ce qui était initialement la terrasse couverte. Aussi ceux qui veulent que cette partie dans le salon/espace de vie soit isolée, doivent-ils le faire faire à leurs frais. Deux possibilités :
- lorsque l’entreprise G3C intervient dans leur appartement, ils missionnent quelqu’un pour le faire à un moment convenu avec G3C pour ne pas retarder l’ensemble du chantier,
- ils peuvent demander à G3C de poser l’isolant, le prix est de 395 euros. Il faut le commander auprès de Sarah au 06 90 29 94 03.
Maçonnerie
Un ingénieur béton a été missionné pour la reconstruction de certains murs et fondations d’appartements en bord de mer. Il a rendu ses préconisations qui ont été transmises à l'entreprise de maçonnerie pour l’établissement d’un devis. Celui-ci sera validé dans la foulée par le conseil syndical ce qui donnera le feu vert aux travaux. Les travaux de toiture ne peuvent programmés sur ces blocs qu’une fois la maçonnerie sera terminée.
Les édicules ont été refaits ce qui permet à EDF de remettre les compteurs.
Plages
Les travaux d’étalement du sable dans les quatre anses ont été réceptionnés cette semaine et ont donné satisfaction. Il a été décidé de conserver tout le sable en surplus et de le positionner à divers endroits ; il sera utilisé en cas de besoin dans le futur.
Piscines
Les copropriétaires sont nombreux à se demander pourquoi les travaux de piscine ne commencent pas. Il y a deux raisons principales.
Comme il a déjà été expliqué, les piscines ne sont pas couvertes par l’assurance, non pas parce qu’elles ont été oubliées dans le contrat mais parce que la compagnie refuse de les assurer. Leur remise en état est donc à la charge des copropriétaires.
Des premiers devis ont été demandés entre mars et avril ce qui a permis d’estimer le coût de réhabilitation des quatre piscines à environ 250 000 euros ; cela comprend le nouveau revêtement, les pompes, les filtres, les barrières de sécurité, les murs, les margelles, la maçonnerie (mur), etc.
Sur les quatre piscines de la résidence, deux sont plus faciles à remettre en état, celles des anses 2 et 3 ; celle de l’anse 4 est la plus endommagée.
Un appel de fonds «piscines» a été fait en juillet pour récolter la moitié de la somme nécessaire pour reconstruire au moins deux piscines. Sur les 125 000 euros ainsi demandés, 82 000 euros ont été récoltés à fin septembre (soit les deux-tiers), ce qui ne permet de réaliser pour l’instant qu’une seule piscine.
Il a été décidé de commencer par la réhabilitation de la piscine de l’anse 3, c’est celle qui demande le moins de travaux de maçonnerie en amont.
Entre temps, des difficultés sont apparues, les devis ont été révisés à la hausse et l’entreprise la plus intéressante au niveau tarif n’est, pour l’instant, pas en mesure de fournir tous les documents administratifs demandés. Les devis varient du simple au double ; à titre d’exemple, un devis à 100 000 euros par piscine a été réceptionné.
Toutefois, nous devrions être capables de sélectionner les entreprises qui interviendront sur ce chantier dans les prochains jours ; l’objectif étant d’avoir remis en état au moins une piscine d’ici à la fin de l’année.
Au niveau des barrières de protection, il a été décidé de poser des barrières comme il y en avait autour de la piscine à l’anse 2 et non de reconstruire un mur comme il y en avait un autour de la piscine à l’anse 1 pour une raison financière.
Terrasses
Les travaux de réfection des terrasses vont être retardés car l’entreprise située en métropole qui fournit la résine à l’entreprise qui la pose, vient d’être victime d’un incendie ; il y a donc rupture de stock. Nous sommes donc à la recherche d’un nouveau fournisseur. A noter que l’entreprise qui pose la résine garantit la pose uniquement si la résine satisfait les normes européennes ; un approvisionnement sur le marché nord-américain n’est donc pas possible.
Mur d’enceinte - clôtures
En assemblée générale en 2018, les copropriétaires ont validé le principe de travaux de re- construction du mur le long de la route et de la pose d’une nouvelle clôture même si aucun jugement définitif affirmait que le NBBC était propriétaire des parcelles concernées.
Au moment de l’attribution de la DPI (déclaration préalable pour travaux Irma), la Collectivité a précisé que le NBBC était autorisé à effectuer l’ensemble des travaux de réhabilitation sauf ceux concernant le mur d’enceinte et la clôture. Un copropriétaire avait entre temps contacté par courrier les services d’urbanisme pour leur indiquer que le NBBC n’était pas propriétaire ; aussi la COM n’avait-elle pas validé les travaux. C’est pour cette raison que ces travaux pourtant budgétisés et devisés, n’ont pas débuté en juillet comme il était prévu et comme nous vous l’avions indiqué.
Par ailleurs, la SFHM et Cie ainsi que les SCI Broutilles et Petits Morceaux et Les chemins de la baie ont saisi le juge afin de faire interdire au syndicat des copropriétaires du NBCC les travaux de clôture. Le syndicat des copropriétaires du Flamboyant s’est joint à la procédure pour nous demander de différer les travaux de clôture. Le 20 septembre, par une ordonnance, le tribunal de grande instance de Basse-Terre a rejeté la demande de la SFHM, des deux SCI et du syndicat des copropriétaires du Flamboyant. A préciser que l’affaire sur le fond (à qui appartiennent les parcelles?) n’est pas encore réglée.

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